Chelsea et moi étions rester un peu en retrait pendant que Edward daignait enfin prendre une décision. Je regardais Chelsea, où disons, scrutait Chelsea pour voir si elle se contrôlait mieux, puisque Jane était de nouveau parmi nous. J'étais appuyé contre le mur et ne la quittait pas des yeux. Je sentis qu'elle savait parfaitement que je l'observais et qu'elle essayait d'éviter mon regard, encore une fois. Je souris en baissant la tête puis je me concentrai de nouveau sur ce qui se passait dans la pièce à côté.

Je vis alors ce que j'avais désiré ardemment depuis notre arrivée : Edward se rangea à la droite de Jane et se comporta comme le parfait héros tragique qui se sacrifiait par amour pour sa bien aimée. Il se tourna alors vers Jane et dit les paroles les plus profondes qu'il put prononcer à ce moment là.

Jane... Tiens parole.

Je décidai de m'avancer et de rentrer dans cette pièce lourde en émotions qui ne me touchaient absolument pas. Je me tournai vers Jane et lui demandai :

- Je me propose pour la...réparer. Si tu veux bien...

Mais mon regard me trahit car son odeur... me déstabilisa encore plus que tout à l'heure, et je ne pouvais désormais plus quitter mon regard de son corps sanglant. Non, je n'allais pas tout faire rater si près du but. Je secouai la tête, et me repris, difficilement. Je regardai de nouveau Jane, attendant une réponse de sa part.

Parfois, il m'arrivait que je me questionne sur certains points à propos de notre race. Etait-ce comme les humains ? Les bons d'un côté, les méchants de l'autres ? Surtout si l'on part du principe que nous sommes damnés, sans âme. Comment alors pourrait-il y avoir cette différence de caractère entre nous, cette différence d'humanité ? Avais-je une humanité au fond alors ? Que m'en restait-il ? Et surtout, la perdrais-je un jour, toute entière, pour devenir le parfais morceau dur et froid que pouvait incarner la juvénile Jane ?

Bien. Maintenant on devra trouver ce bel ours.

Oh oui... Cherche le bien petite fille, et quand tu lui mettras la main dessus, si tu y arrive, j'espère qu'il aura trouvé le genre de vampires qu'il souhaitait, ils ne sont pas de l'accabit des Volturi, certes, mais ils ont cette espèce de fureur primaire, presque animal en eux, qui les rends bien plus malin et doué que vous et vos cérémonies de pacotille, du pipeau, monté de toute pièce, voilà ce qu, désormais, le clan italien représentait pour moi. Lorsque Jane et ses compagnons trouveront mon frère et ses nouveaux amis, je prie pour qu'ils arrachent la tête de cette salope avec une lenteur exercée.

Demetri fit son retour dans la villa, et vint se poster près de Jane, de l'autre côté, je ne daignais pas un regard pour cet idiot aux airs prétentieux, un vrai fausset. Il puait l'hypocrisie à plein nez.

Je me propose pour la...réparer. Si tu veux bien...

Tout ce que je lu sur son visage me glacais d'horreur et d'appréhension. Sa bouche était comme, déformée par un désir inavouable de sang, de ce sang précisemment. Je quittais ma place pour me mettre face à Jane, Demetri dans mon dos, je lui obstruais la scène, consciemment.

Un marché est un marché en effet... Et j'ai dit JANE. Je me retournais face à l'autre - Je n'ai aucune confiance en toi, ta proposition n'a pas lieu d'être. Dis-je plus que durement. Jane pouvait bien faire ce qu'elle désirait de moi, me torturer, là, tout de suite, me punir de mon insolence, je n'en avais que faire ! Demetri resterait loin de Bella.

J'étais allé au centre-ville de Forks pour me réapprovisionner de pansements de poches de sangs et plein d'autres fournitures médicales qui pourrait me servir à un moment ou si Edward craque et la mords ,ce qui serait horrible .

Je pris donc le chemin de la villa avec ma BMW.Lorsque je m'approchais peu à peu de notre demeure,je sentis pour la première fois comme un appel,un appel au secours,un appel de ma très chère et tendre femme Esmé.J'accéléra donc la vitesse de mon engin,j'arrivais dans l'allée de notre habitation quand je vis par surprise l'une des Volturis devant la maison ,elle dégagé d'elle une énorme colère.Pourquoi les Volturis sont-ils ici?A Forks?Serait-ce Aro qui les auraient envoyé ?J'en étais sur ,je savais bien qu'il enverrait quelque personnes de son clan "royale",mais pour qu'elle raison....je me le demande bien...

Je pris donc l'ambition de rentrer dans la villa et voir se qu'il si trame.La fille me regarda d'un air de surprise,et de peur,comme si j'étais un sorte de super-héros allant sauver une victime.Ce qui ne m'appaisas en rien...
Quelque chose me parraissé anormale à présent...la porte pourqu'elle raison était-elle ouverte de deux cotés?Je m'empressa donc de rentrer et je vis à ce moment là un regroupement autour de la table du salon.Je regarda Esmé,elle paraissait très inquiète et aussi soulager de mon arriver.Je poussa les personnes autour de la table et vis le corps de Bella, ma Bella,ma "fille",qui gisait là sur cette ridicule table basse.


-Edward!Pourqu'elle raison a tu fais ceci?Tu savais très bien que tu ne savais pas vraiment de qu'elle manière t'y prendre pour transformer une humaine en vampire? ,je commencais à avoir un peu peur de ne plus la revoir;malgré mes talents prodigieux en médecine,j'avais peur de ne pas réussir à la retrouver vivante. Edward je vais la prendre dans mon bureau où je commencerais à la recoudre et a lui faire une perfusion avec une poches de sang.Merci Jasper pour cette aide. ,j'étais tellement préssé que ne pris pas la peine de saluer les Volturis et mes enfants. Edward fait les un peu sortir pour qu'ils prennent l'air ,histoire qu'ils ne cèdent pas et toi non plus.

Quand je vis que Démétri se mit entre moi et le corps de Bella,je me stoppa abassourdi.Je ne compris pas.Que ce passé t-il pour qu'elle raison Edward avait-il le regard aussi vide?Il se passé quelque chose.

-Très chère Jane.Pour qu'elle raison devrais-je vous laisser faire?Je veux dire que je suis beaucoup mieux placé pour lefaire ne crois tu pas?!Alors s'il te plaît laisse moi....ou expliquez moi mais je veux une réponse.

Je n'écouta pas un traitre mot de ce que Jane me raconta les minutes abominablement creuses et sans intérêt, qui suivirent. Ses moqueries incessantes avaient le don de lui ôter toute sagesse qu'elle était censée posséder, toute crédibilité.
La seule chose qui la releva un tant soit peu dans mon estime fut de la voir être de mon avis à propos du blond à cape noire. Elle s'adressa à Demetri, toute sagesse retrouvée, et son ordre retentissa comme une obligation et un choix indémontable, Demetri arrêta son élan vers la table du salon, et observa Jane, une lueur reflétant le mécontentement était facile à deviner.

D'ailleurs, elle a un prénom tout de même ?

Son air sure d'elle et drôle alors que rien, absolument rien ne se prêtait à l'humour ici, me répugnait en tous points.

Qu'importe le prénom à tes yeux ? Dis-je révulsé.
Isabella... Soupirais-je, voyant le regard noir qu'elle me lança, inutile d'en rajouter.

Sur une ultime phrase de Jane, déclarant qu'elle était droite et ne tragissait jamais une promesse, elle s'avança vers Bella, gisant plus loin, toujours, et déclara, son humour pincant faisant son retour triomphal :

Je pense que tu devrais plutôt te méfier de ce blond aux allures de coincé.

Je regardais droit devant moi, ignorant de nouveau ses reflexions.

Je sais de qui me méfier, ne t'inquiète pas pour moi. Répliquais-je acerbe.

C'est à cet instant précis que mon père, notre père, fit son entrée dans la Villa, j'entendis ses pas rapides entrer nerveusement dans la pièce, le visage alerte, les traits indéchiffrables pour le moment, si, l'inquiétude surement.
Son regard se mis à me jauger de façon incertaine, une sorte de chose que je n'avais encore jamais eut l'occasion de lire dans ses yeux, de la deception, presque de la fureur.

-Edward ! Pour quelle raison as-tu fait ceci ? Tu savais très bien que tu ne savais pas vraiment de quelle manière t'y prendre pour transformer une humaine en vampire ?!

Mais je... Quoi !? Mais non ! J'n'ai jamais eu l'intention de... !

Il ne me laissa pas le pouvoir de terminer mon explication, trop préoccuppé par le sort et l'état de bella, et il avait éperdumment raison sur ce point là.

Edward je vais la prendre dans mon bureau où je commencerais à la recoudre et à lui faire une perfusion avec une poche de sang. Merci Jasper pour cette aide.

Il poussa les personnes génant le passage qu'il créait à lui seul, n'ayant toujours pas compris l'attroupement qui se trouvait ici, devant le corps, et encore moins le fait que, Demetri, se tenait si près de Bella, ainsi que Jane qui s'était apprété à s'occuper d'Isabella.

Edward fais les un peu sortir pour qu'ils prennent l'air, histoire qu'ils ne cèdent pas et toi non plus.

Père, je...

Mais Demetri commenca à sa manière, alors que je m'apprétais à tout expliquer à Carlisle, loin de se douter de ce qui se tramait dans sa propre maison, dans une heure si avancée de la nuit. Le blond à cape noire s'interposa entre la table où se trouvait ma Bella, et mon père qui resta stoïque, cherchant surement la raison de cette interruption soudaine.

Très chère Jane. Pour quelle raison devrais-je vous laisser faire ? Je veux dire que je suis beaucoup mieux placé pour le faire ne crois-tu pas ?! Alors s'il te plaît, laisse moi.... Ou expliquez-moi, mais je veux une réponse.

Toutes les têtes se tournèrent en direction du morceau de porcelaine froid prénommé Jane, la mienne y compris, sans grandes esperances toutes fois, il ne fallait pas se leurrer, plus maintenant, il était trop tard.

Démétri fit son entré, les yeux rivés sur le corps meurtri de Bella, et regarda Jane :

Je me propose pour la...réparer. Si tu veux bien...

Sa voix était frêle et ses yeux noir : il était affamé. Jane l’avait remarqué.

- Non Démétri. Tu risquerais de la tuer, tes yeux sont noirs comme le plumage d'un corbeau, ne t'inquiète pas, dans quelques minutes on ira se nourrir, je commence à avoir une petite faim. Mon beau tu as fait preuve d'intelligence en proposant ce marché…

Elle regardait maintenant Edward

-..alors je suis sûre que tu ne veux pas que tout tombe à l'eau quand même ? Car sans le casse croûte, on n'a pas le sexy Edward.

Jane continua de parler et essaya de provoquer mon fils, qui montra, d’ailleurs, un peu de remontrance. Jane s’avança vers le corps de Bella, le sourire aux lèvres. Nous savions tous ce qu’elle voulait, que secourir Bella n’était qu’un contrat pour récupérer Edward et son immense talent. Cela lui était égale de la sauver, tous ce qu’elle voulait c’était de faire bonne figure à son maître, Aro, en ramenant le vampire qu’il attendait depuis tant d’années.

Mais quelque chose arriva, quelque chose que j’espérai depuis plusieurs heures maintenant. D’abord je cru que ce n’était que mon imagination qui me jouait des tours. Je le souhaitais tellement ... puis il m’a regardé et tout est devenu clair : Oui, c’était bien lui, Carlisle était revenu. Etait-ce possible ? Y avait-il quelqu’un là-haut qui avait entendu ma prière ? Cela dit je ne devais plus m’en soucier : Il était là, c’était tout ce qui conter à présent. Maintenant tout allais rentrer dans l’ordre. J’étais tellement absorbais par le moment que je n’entendis même pas ce que mon amour avait raconté à Edward. Puis je vis Jane s’approcher de Carlisle et le stopper dans son élan. Il resta bouche bé. Il regarda autour de lui et compris que tous cela était beaucoup plus grave qu’il ne le pensait. Il osa affronter Jane du regard et lui lança :

-Très chère Jane. Pour qu'elle raison devrais-je te laisser faire? Je veux dire que je suis beaucoup mieux placé pour le faire ne crois tu pas?! Alors s'il te plaît laisse moi....ou expliquez moi mais je veux une réponse.

Le refus de Jane me vexa, mais était tout a fait logique. J'aurai été
capable de la tuer. Les paroles qui suivirent raisonnaient à mes
oreilles mais mon cerveau était incapable d'identifier ce qui se disait.

Une partie de mon esprit n'arrivait qu'à percevoir la haine des Cullen
envers notre clan, l'autre était en plein travail pour oublier (du
mieux que je pouvais) l'odeur du sang qui ne cessait d'embaumer cette
pièce. C'était comme si on avait posé une bouteille de whisky devant un
alcoolique qui n'avait pas bu une goutte d'alcool pendant 5 ans. A la
différence que le sang était mon unique repas depuis plus de 400 ans.
La tentation était atroce, sachant qu'il aurait été si facile de lui
sauter à la gorge...

Mais je pus me reprendre plus vite que je ne l'aurais cru. L'arrivée de Carlisle me sortit de mon rêve.

Pour l'instant il ne s'agissait que de reproches d'un père à son fils.
Mais je savais que Carlisle tenterait quelque chose de totalement
stupide : soigner la fille.

Edward je vais la prendre dans mon bureau
où je commencerais à la recoudre et à lui faire une perfusion avec une
poche de sang. Merci Jasper pour cette aide.

A ces mots, je m'avança et me positionna entre Carlisle et l'humaine.

Edward fais les un peu sortir pour qu'ils prennent l'air, histoire qu'ils ne cèdent pas et toi non plus.

Sortir ?! et puis quoi encore... Pourquoi ne pas faire comme si l'on
avait rien vu ? Oublier cet épisode malheureux en retournant à Volterra
avec les mains vides, subissant la colère noire d'Aro en récompense ?
Hors de question.

Très chère Jane. Pour quelle raison
devrais-je vous laisser faire ? Je veux dire que je suis beaucoup mieux
placé pour le faire ne crois-tu pas ?! Alors s'il te plaît, laisse
moi.... Ou expliquez-moi, mais je veux une réponse.


- Désolé, Carlisle. Nous nous sommes proposés
pour soigner la ravissante Isabella, et Edward, en excellent gentleman,
a accepté de rejoindre notre clan pour nous remercier. Tu serais arrivé
plus tôt... Mais un marché est un marché, tu sais ce que c'est. Et tu
connais Aro...Si nous lui racontons que son voeux le plus cher avait
failli se réaliser, mais que nous avons du tout annuler à cause de
toi... Il risque de s'en prendre à nous, certe, mais aussi à ta
ravissante petite famille... Et j'ai beaucoup de respect pour toi, mais
les ordres d'Aro sont difficilement discutables.

Le regard de Carlisle en disait plus que n'importe quelle parole. Il
était dévasté. Oh ! de nouveau ces sentiments si...humains ! A croire
que Chelsea avait possédé son corps.

Après ces quelques phrases Démétri m'expliqua la raison:

- Désolé, Carlisle. Nous nous sommes proposés
pour soigner la ravissante Isabella, et Edward, en excellent gentleman,
a accepté de rejoindre notre clan pour nous remercier. Tu serais arrivé
plus tôt... Mais un marché est un marché, tu sais ce que c'est.


Mon sentiment après ceci était que j'épprouver une tel colère que même ma femme n'aurais pu me calmer.

Et tu
connais Aro...Si nous lui racontons que son voeux le plus cher avait
failli se réaliser, mais que nous avons du tout annuler à cause de
toi... Il risque de s'en prendre à nous, certe, mais aussi à ta
ravissante petite famille..Et j'ai beaucoup de respect pour toi, mais
les ordres d'Aro sont difficilement discutables.

Mais vraiment pour qui se prenait Aro , il est peut-être le chef du clan des Volturi,mais il ne faut pas qu'il oublie que certaine choses qu'il acquère à présent son grâce à moi.Et puis il prend les membres de son clan comme des serviteurs, des esclaves ,des personnes nés juste pour le servir.Je n'appréciais donc en aucun cas l'attitude de Démétri et de tout le clan Volturi.

-Demetri croit-tu vraiment que je laisserais un membre ,un de mes "enfants", partir pour votre clan si barbare.Contrairement à vous,nous ne sommes en aucun cas habitué au sang humain,mais vous le saviez déja.Pourquoi laisserais-je Edward entre vos mains, juste pour un ordre quelconque d'Aro.C'est vrai qu'il aurait dû choisir autrement les personnes de son clan,sans vouloir te vexer ni vous vexer biensur,mais Aro veut juste élargir sa puissance sur notre race.Mais j'ai juste une dernière chose à vous dire ,plus il agrandira son clan et plus ceux qui auront aucun ou un faible pouvoir seront expulser de son clan.

Démétri ,aprés ces dernière phrases, eu tout à coup une grande inquiétude qu'il essayait de cacher sans vraiment de résultats.Quand Jane eu enfin fini,malgré tout ce que je leur avais dit, il embarquèrent Edward avec eux.J'essaya de les stopper, mais de la façon dont Edward me regarder ,il préférait que je le laisse partir que de voir mourrir Bella,je ne pus donc rien y faire.
J'en étais dessus.J'avais à présent une haine contre ces Volturi et une grande tristesse.Perdre un de mes fils était horrible pour moi.

[ H.S: Suite de L'intrigue ici: https://are-u-afraid.forumsrpg.com/le-salon-f136/encore-une-mauvaise-nouvelle-a-l-horizon-t400.htm#6260 ]