J'avais entendu Esmé et Carlisle parler de leur fameuse ballade à Port Angeles. Ma mère, était aussi friande des boutiques que notre chère Alice, et c'était peu dire !
Alors que j'étais dans ma chambre, seul, j'avais entendu mes parents sortir de la villa, puis Emmett, les rejoindre en fin de compte.
J'avais l'impression de m'éloigner de mon frère ses derniers temps, alors, dans un élan ne venant de je ne sais où, je décidais de me joindre à eux, sans leur dire.
Dérivant sur la forêt, je courais à toute vitesse à travers les arbres, jusqu'à atteindre la petite bourgade de Port Angeles et ses nombreux touristes.

Evidemment, j'arrivais bien avant eux, ayant pris de leur côté une de nos voitures, j'étais beaucoup plus rapide qu'un moteur. Même la Ferrari ne pouvait rien contre moi.

En attendant de les appercevoir, je me balladais, mains dans les poches, regardant de ci de là. Il n'y avait pas encore grand monde, il était tôt. Je me retournais enfin, sentant la voiture gronder à quelques kilomètres de là. Evidemment j'avais bien entendu raison, et la voiture de mon père arriva, toute fringante, avant de se garer près d'une boutique de vêtements pour femmes.
Ils descendèrent et commencèrent à marcher, me mettant derrière eux, je les observais faire premièrement, puis, hélait mon frère, Emmett, plus loin devant moi.


Hey frangin !!

A ma vue, Emmett arbora un immense sourire que je ne pus que lui rendre. Son étonnante joie de vivre constante déteignait pas mal sur ceux qui l'entouraient.

-Edward mon frère tu vas bien ?

Il me serra la main avec poigne, j'aurais été encore humain qu'il m'aurait brisé en deux. Je lui répondais sans me départir du petit sourire qui s'était installé :

Ca va oui.

Ma voix était neutre, peut être trop tout le temps. Les gens devaient me prendre pour un de ces apathiques... Mais ca n'était pas bien grave, mieux vaut ça qu'ils devinnent ce que je suis vraiment, non ?!

Nous marchions derrière Esmé et Carlisle, tellement amoureux qu'ils ne remarquaient pas ma présence. L'amour rendait à la porté des dangers et vous affaiblissait au plus haut point. Je pensais à noter cela pour ma propre personne et pour ce qui s'en suivrait avec cette Bella Swan.

Toi aussi tu as préféré sécher le lycée à ce que je vois... ? Dis-je sourire en coin.

-Edward mon frère tu vas bien ?

Il me répondit de suite.

-Ca va oui.
-Toi aussi tu as préféré sécher le lycée à ce que je vois... ?

Je le regarda et lui répondis avec un sourire au coin de la bouche.

-Ouais ! Au lycée il y a trop d'humains ! Leur odeur... Surtout la nouvelle ! Isabella Swan c'est ça ?

Il ne me regarda même pas lorsque j'avais prononcé le nom de la jeune fille. Je lui tapais sur l’épaule et lui dis :

-Edward ! Je voudrais te poser une question... Comment trouves-tu la nouvelle ? Et ne ments pas...

Je voyais que ma question l'embarrassait.

Tandis que Carlisle et moi-même marchions main dans la main, je sentis l'arrivée de se chèr Edward, ce petit cachotier nous avait rejoind aussi vite et sournoisement qu'un félin. J'écoutais discrètement l'échange entre les deux frères puis lança à l'intention d'Edward :
Ne ment pas mon chéri, je veus aussi savoir comment tu la trouve?
Il avait plut dans la journée, j'aimais l'odeur de la pluie sur le goudron, la nuit commencait à peine à tomber, j'étais heureuse avec mon chèr mari et mes deux fils adoré.Nous bifurquâmes dans une ruelle avec encore plus de boutic je trépignais d'impatience devant tant de magasin, puis n'en pouvant plus je déclara:

Chéri, rentrons dans ce magasin tu veus.Je l'entraina à ma suite dans un magasin de vêtement de soirée.

Emmett répondit à mon sarcasme en un sourire qui en disait long.

Ouais ! Au lycée il y a trop d'humains ! Leur odeur... Surtout la nouvelle ! Isabella Swan c'est ça ?

* !? * Mais est-ce possible ?! Pourquoi diable tout le monde me parlait de cette fille alors que je tentais par tous les moyens existant de l'oublier !? J'étais damné, et cette fois, plus aucune raison d'en douter... Malgré tout, je ne montrais pas ma colère ni ma suprise d'entendre ce prénom. Alors il continua avec sa noncalance coutumière.

-Edward ! Je voudrais te poser une question... Comment trouves-tu la nouvelle ? Et ne ments pas...

Et comme si un malheur n'arrive pas tout seul... Ma mère me remarqua pile à cet instant, et en profita pour s'introduire dans la conversation, qui pour le moment, avouons-le, n'était qu'un monologue de la part d'Emmett.

Ne ment pas mon chéri, je veus aussi savoir comment tu la trouve ?

Et bien je... Je les voyais mo'observer avec un intérêt plus que palpable... Voilà qui était gènant.
Nous ne nous connaissons pas plus que ça. Ils m'observèrent avec deux mines déçus.

C'est alors, qu'Esmé attira Carlisle dans une des boutiques environnantes. J'en profitais pour rester avec Emmett dehors, tandis qu'une pluie fine s'abattait avec douceur sur nos peaux d'albatre.

- Chéri, rentrons dans ce magasin tu veux. Me disait Esmé en m’entraînant dans une boutique de soirée.

Je la regarda avec un sourire en coin, et lui dis doucement dans l'oreille.

- J'irais partout où toi tu iras, ma chérie. Sur ce, je la suivis en jetant un petit coup d'oeil à Edward et Emmett.

*** Moi aussi je veux tout savoir sur cette jeune fille, mon petit Edward ***

Puis je me retourna vers esmé, Main dans la main, on entra dans le magasin et le caissier sourit mielleusement à Esmé. Je lui jeta un coup d'oeil mauvais, et il tourna vite la tête. Je pris tout doucement un panier pour y mettre ce qu'on achèterait et ça y est ! On était parti pour cette grande épopée !

On regarda tout les rayons du petit magasin dont pleins d'habilles attiraient ma très chère épouse. Je la vis poser ses yeux sur une magnifique robe de soirée noire en satin, perlée de petits rubis, et je lui pris des main avant qu'elle puisse dire quoi ce soit.

- Ma beauté, ça te dirais que je t'achète cette merveille ? Je veux que tu la porte demain soir pour que je puisse t'emmener dans le plus beau des théatre, sa te dirait d'aller voir de l'opéra. Je la regardais dans les yeux, m'approcha d'elle et lui offris un baisé sur ses lèvres juteuses.

- J'irais partout où toi tu iras, ma chérie. Me déclara si doucement mon tendre époux que je vacilla sur mes jambes tant je m'était rapprochée de lui. Il avait les mots pour me faire perdre la tête. Sur ce je lui pris la main et c'est sur un petit nuage que nous rentrâmes dans un magasin des plus luxueus de la ville. Le vendeur nous fîmes un sourire de plus en plus grandissant au fur que nous nous approchions de lui. Avant de regarder Carlisle et de piquer un fard en baissant la tête, je pouffa tout en donnant un coup de coude à Carlisle:

Laisse le voir tranquil, le pauvre tu va lui faire peur.Lui dis-je mi-figue mi-raisin.

Il y avait tellement de jolie chose que je ne savais plus ou donner de la tête. Et la je vis une somptueuse robe de soirée toute noir en satin avec des rubis telles des gouttes d'eaux cristalisée. A peine j'approcha une main tremblante de la robe tentatrice que mon chèr et tendre la tennait déjà dans ses mains puissantes.

- Ma beauté, ça te dirais que je t'achète cette merveille ? Je veux que tu la porte demain soir pour que je puisse t'emmener dans le plus beau des théatre, sa te dirait d'aller voir de l'opéra.

Ce serais magnifique, j'avais l'impression de redevenir une gamine, l'opéra ça fait longtemps que nous n'y sommes pas allés. Bien sur que je veus y aller. Merci mon chéri.

Je lui rendis son baiser avec fougue et je vis du coin de l'oeil que le petit vendeur nous regardait les joues encore plus rouge que jamais.

Ce serais magnifique, j'avais l'impression de redevenir une gamine, l'opéra ça fait longtemps que nous n'y sommes pas allés. Bien sur que je veus y aller. Merci mon chéri.

Je n’ai pas eu le temps de dire autre chose qu’elle m’embrassa à son tour, le vendeur nous regardait toujours et devenait tout rouge. On resta là un petit moment, puis je lui dis :

- Ma chérie, on ne va pas rester ici, il y a autre chose qui te ferais plaisir ? Ou tu veux faire d’autres magasins ?

Je pris sa main, puis on pris la direction des caisses.

Ca y est ! On passe finalement à la caisse. Le vendeur détourna son regard de nous, même si moi je le fixais dans les yeux avec un sourire en coin et les sourcils froncés. On paie, puis on sort rejoindre Emmett et Edward.

Toujours dehors, j'entendais mes parents parler, à l'intérieur du magasin. Parfois mes capacités auditives m'exaspéraient, je n'aimais pas avoir cette impression d'espionner constamment les gens autour de moi, encore plus les gens m'étant chers.

Emmett m'observait avec un sourire en coin à ma phrase précédente, prétextant que Bella n'était qu'une maigre " connaissance " ... Et il avait bien raison.

Quelques minutes à peine plus tard, nos parents ressortirent, deux sacs cartonnés au mains d'Esmé, souriante au possible, tandis que Carlisle l'entourait de son bras avec amour. Cette vision me fit avoir un sourire.

Carlisle est un homme prévenant et aimant, je me suis souvent demandée si j'avais méritée ce bonheur. La vie est si douce à ses côtés. Carlisle me sorti de ma rêverie en me demandant:

- Ma chérie, on ne va pas rester ici, il y a autre chose qui te ferais plaisir ? Ou tu veux faire d’autres magasins ?

Réfléchissant je lui fis face et avec un grand sourire lui déclara:

- Oui il te faut un costume et je sais ou nous pouvons trouver ce qu'il te faut.

Sur-ce je me cramponna à son bras et s'est entrelacé que nous passons à la caisse. Son odeur me fait toujours autant d'éffets, elle est boisée et elle garde une minuscule odeur de sang humain que même nos enfants n'ont jamais détectés, je suis certainement la seule à le remarquer Carlisle lui-même ne dois pas s'en douter tellement il y est habitué. hummmm Qu'elle odeur succulente.

Une fois nos achats terminés nous sortâmes de la boutique et retrouvâmes Edward et Emmett en pleine discussion.

De quoi parlez-vous les enfants?

Esmée me regarda avec un sourie éblouissant et m’annonça :
- Oui il te faut un costume et je sais ou nous pouvons trouver ce qu'il te faut.

Je la regarda avec des yeux interrogateur, un costume pour moi, mais j’en ai pas besoins. Puis elle se cramponna a mon bras. Elle me regarda toujours, j’adoré se regard la, elle est si belle, elle est ma raison de vivre. Qu’est que je ferai sans elle, sans ma famille.

- je n'est pas besoins de costume ma chérie.

Une fois nos achats terminés nous sortâmes de la boutique et retrouvâmes Edward et Emmett en pleine discussion.

Puis Esmee leurs dis :
- De quoi parlez-vous les enfants?

Je la regarda, puis me retourna vers mes fils et leurs dis a mon tour :
- ils sont toujours préoccupé par cette humaine, elle doit être interresente alors.

- je n'est pas besoins de costume ma chérie.

Il était toujours réticent lorcequ'il s'agissait de ses propres besoins, mais à moi il ne pourrait pas dire non. Je lui lanca un regard de braise et avec un grand sourir lui dis:



-S'il te plaît, pour me faire plaisir et de toute façon tu ne peut pas dire non puisque je te l'offre.

- ils sont toujours préoccupé par cette humaine, elle doit être interresente alors.
J'espère qu'Edward va trouver un moyen de lui révéler sa véritable nature.

*N'oublie pas notre première règle Edward: ne pas révéler notre identitée aux humains, contourne cette règle, elle a les capacité pour accepter la véritée et tu verra tu te sentira moins en danger quand tu sera en sa présence.*

Sur ce je lança un regard à Edward chargé de sous entendue et de secret espoir qu'enfin mon fils trouve une compagne, puis je les entraina dans un magasin qui se trouvait un peu plus loin dans la même ruelle.
Bien maintenant mon chéri c'est à ton tour,sans lui laisser le temps de répondre je l'entrainna à ma suite dans le magasin de costumes sur-mesur italien que j'aimais tant offrir à mon chér époux.

Une fois sortis du magasin, Esmé m'observa, ainsi qu'Emmett, un beau sourire sur ses lèvres :

De quoi parlez-vous les enfants?


Je baissais la tête, souriant. Dieu que c'était gênant ! Moi qui n'aimais pas mettre l'attention sur moi, c'était réussi !
Carlisle parla avant que je ne trouve quelque chose à fournir à l'esprit curieux au possible d'Esmé, ce que je crus apprécier, mais seulement au début. Il visait juste, trop juste...

ils sont toujours préoccupé par cette humaine, elle doit être interresente alors.

Oui elle l'est. Déclarais-je comme une annonce officielle ce qui fit pouffer Emmet à ma gauche, je lui foutais un coup de coude dans le bras, un regard chahuteur à son égard.


*N'oublie pas notre première règle Edward: ne pas révéler notre identitée aux humains, contourne cette règle, elle a les capacité pour accepter la véritée et tu verra tu te sentira moins en danger quand tu sera en sa présence.* Pensa ma mère, tout destiné à moi.

Alors comme ca je pouvais lui faire comprendre sans rien lui révéler ? Nan... Les histoires de ce genre pour les humains n'étaient que fables et contes... Pas des trucs qui arrivaient... Non ?!
Mais je me dis enfin, que je pourrais otujours essayer, je me demandais d'ailleurs comment je pourrais m'y prendre alors.

Bien maintenant mon chéri c'est à ton tour. Notre mère attrappa Carlisle pour le forcer à entrer dans une belle boutique italienne, où pas mal de costumes de luxe se cotoyaient. J'aimaient les beaux vêtements, alors à mon tour, je tirais Emmett à l'intérieur pour que nous y entrions nous deux également.
Arrivant près d'une rangée d'un des rayons je m'emparais d'un magnifique trois pièce noir, de la marque francaise YSL. Magnifique, pensais-je.

Esmée et Carlisle était rentrer dans le magasin. Moi et Edward nous étions assis sur un banc
Carlisle avait acheter une magnifique robe pour notre chère mère. Esmée sortie du magasin et s’avance vert Edward. Esmée si au loin un autres magasin.

-Bien maintenant mon chéri c’est a ton tour.

San lui laisser le temps de répondre elle l’entraîna à sa suite dans le ravisent magasin de costumes italien. Edward me tira a mon tour pour que nous y entrions tout deux. Il y avait de superbe chemise a rayures noir. Des pantalons magnifique, mais se n’était pas mon style, et oui moi c’est plus rap. je vie carlisle regardait les costumes un par un.

Tenant toujours le pan du pantalon de costume francais entre mes doigts aquilins, je jetais un oeil à Emmett, qui nous observait près de l'entrée.
Amusé, je lui désignait le costume auquel je m'interessais, et avec un demi-sourire lui lancais à la cvolée :

Alors Emmett !? Ne serais-tu pas magnifique là-dedans ? Dis-je sarcastique.

Il est vrai qu'imaginer mon sportif de frère dans un costume aussi engoncé et bon chic bon genre était des plus distrayant ! Il vint me donnant une tappe voyant que je me moquais, mais je ris encore plus.
J'observais ensuite mon père, qu'Esmé trimballait dans tous les recoins de la boutique, le persuadant d'essayer et d'acheter quelque chose.
Je savais qu'il en avait probablement trés envie, sauf qu'il ne prenait jamais de temps ni d'argent pour lui même. Le pire dans tout ca était que nous étions loin de manquer de l'un ou de l'autre !

La réaction de mon trés cher frère ne se fit pas attendre le moins du Monde...

*Hou mais c'est... c'est hoooooou*

Je m'esclaffais, secouant la tête de gauche à droite. C'était une cause perdue celui-là. Il était vrai qu'Emmett avait son style bien à lui, qui lui allait trés bien d'ailleurs ! J'essayais de me souvenir de la dernière fois où j'avais pu le voir en costume mais aucun souvenir ne remonta dans ma mémoire. L'avais-je vu une fois au moins ?! Pas sure...

Moi là dedans ! Tu rigole, et en plus c'est pas mon style, c'est plutôt le tien !

Qu'insinu-tu !? ( Rire ) Que c'est moche peut-être... ? Dis-je fière, une moue sur le visage, provocateur.

M'ignorant, Emmett se dirigea vers le rayon juste derrière celui où nous nous trouvions et sortit d'une rangée de costumes, une chose absolument HIDEUSE. Je grimacais à la vue de cet affreux trois pièce aux lignes jaunes fluo. Comment pouvait-on oser créer une horreur pareil !?

Tiens ! Toi tu serais super chou la-dedans !

Mon dieu... M'exclamais-je, touchant le tissus rapeux.
Alice mourrait une deuxième fois si elle voyait cette... CHOSE. Déclarais-je les yeux ronds.

Une foie rentrés dans le magasin suivie de près par Edward et Emmett, Carlisle se retrouva à éssayer tant de beau costumes qu'il en aurrai perdu son latin. Je papillonnait tel un insecte attiré par la flamme jusqu'à trouver le costume qui mettrai ses beaux yeux en valeur. C'était un costume noir à fines rayure rouge, avec une chemise blanche, mais il manquai un détail, la cravate.

-Il est magnifique, en plus il fait ressortir l'or de tes yeux mais il te manque quelques petits détailles. Va avec le vendeur pour les retouches, moi je vai chercher ce qu'il te manque.

Tandis que Carlisle s'éloignait en compagnie d'un petit italien, lunette sur le nez et mettre mesureur autour du coup, il avait l'air joviale, je me rapprocha du rayon des accessoires. Après avoir tout déballé, je m'amusai comme une gamine, je nous dégotta une superbe cravate rouge dans la soie la plus belle qui soit ainssi qu'une écharpe de soie également de couleur blanche avec des reflets or, elle était magnifique.

Je retourna vers mon bien-aimé toute frétillante et lui tandis mes trouvailles.

-Tient mon chéri éssaye cela.

Il sortie de la cabine les retouches terminées, l'italien travaillais bien.

-Tu es très élégant, ca te va à merveille. Je m'approcha de Carlisle et l'embrassa tendrement puis je me retourna vers le vendeur et lui déclara que nous prenions le tout. Je me retourna de nouveau vers Carlisle et lui dis

- Je t'aime mon chéri.

Après quelques minutes de contemplation je m'arracha au regard de mon époux, le poussa tendrement dans la cabine afin qu'il se change puis je m'approcha des enfants affin de les prévenir que nous allions à la caisse.
Je les trouva à chahuter autour d'un costume de mauvais gout, noir et jaune.un sourire en coin je leur déclara.

-Vous avez trouvés votre bonheur, je vois qu'il y en a un deuxième la-bas comme ca vous n'aurez pas à vous chamailler, prenant le costume des mains d'Emmett, je leurs déclara je vous les offres.
Vue leurs mines déconfites ils n'appréciais pas trop mon cadeau, j'éclata de rire.

-Mais non mes loulous choisissez ce qu'il vous plaît, mais pas cette horreur surtout.

Esmée m’entraîna dans un magasin qui se trouvait un peu plus loin dans la même ruelle.

- Bien maintenant mon chéri c'est à ton tour, me dit elle.

Sans me laisser le temps de répondre elle m’emmena dans un magasin de costumes sur-mesure Italien.

Une foie rentré dans le magasin, Esmée me trouva plein de magnifique costume de toute les couleur et de toute les matière qui soit. J’avais l’impression d’être sa poupée mannequin. Je la voie virevolté entre les rayons et chopé au passage tous se quelle trouvé intéressent .

Je vie au loin Emmett et Edward discuté sur des costume, je les fixé un moment quand soudain ma très cher Esmée s’approcha de moi avec un costume noir à fines rayure rouge, avec une chemise blanche.

- Il est magnifique, en plus il fait ressortir l'or de tes yeux mais il te manque quelques petits détailles. Va avec le vendeur pour les retouches, moi je vais chercher ce qu'il te manque. Me dit-elle joyeusement.

- oui, ma chérie, je l’aime beaucoup. Luis dis-je avec un sourire. Je la regardais, et la vi aller de rayon en rayon, qu’est se qu’elle ne ferai pas pour moi.

Je resta avec le vendeur qui me prenais les mesures de la tête au pied, pour le costume qu’Esmée avais choisie. Je me sentais gêné et c’était si long, pourquoi elle avait choisi un costume sur-mesure. Le plus simple était juste d’en prendre un a ma taille.

Esmée se rapprocha de nous avec une cravate rouge en soie et une écharpe de soie blanche avec des reflets en or.

- Tient mon chéri essaye cela. Me disait-elle en me donnant ses trouvailles.

- merci ma chérie, mais tu en fait trop ma belle. Pourquoi ne pas prendre un simple costume a ma taille. Je sourie , et vis tend de joie dans ses yeux , comment lui refuser cela.

Je resté un moment avec le vendeur qui retouché mon costume et quand il fut terminé, il me tendit le costume pour que je puisse l’essayer dans une cabine.
Quand je sortie de la cabine Esmée était la, et me regardé avec des yeux écarquillé et qui reflété le bonheur.

- Tu es très élégant, ça te va à merveille. Elle s’approcha de moi et m’embrassa tendrement, je ne pensé plus a rien, juste a moi et elle quand elle annonça au vendeur que l’on prenait le tous.

Elle se retourna vers moi et me dis :
- Je t'aime mon chéri.

Sur ces belle paroles, je m’approcha d’elle l’embrassa au cou en remontant très doucement à l’oreille et lui dis a mon tour :
- moi aussi je t’aime, mon amour, tu est toute ma vie, et merci pour le costume.

Après quelques minutes de contemplation , elle me poussa tendrement dans la cabine. Je me changi aussi vite qu’elle n’avait pas vue que j’était déjà a ses coté.

Elle discuté avec Emette et Edward sur un costume pas très élégant.

Alors qu'Emmett riait de tout son soul face à ma remarque constructive (pour le moins) sur notre chère soeur, Esmé arriva vers nous, toute pimpante, les joues presque rosies ! Un miracle étant donné notre condition.
Elle était heureuse et inutile de lire dans les pensées, ca se lisait simplement sur son visage ici.

Vous avez trouvés votre bonheur, je vois qu'il y en a un deuxième la-bas comme ca vous n'aurez pas à vous chamailler. Déclara-t-elle à notre égard en montrant du bout de l'index la même horreur, deux rayons plus loin.
Je vous les offre !

Anéanti, Emmett grimaca tandis que je m'exclaffais, sachant trés bien que tout ceci n'était qu'une pure mascarade. Mais je laissais à ma mère le plaisir de penser que je pouvais tomber dans le panneau... Impossible avec ce fichu don.
Elle éclata de rire alors, voyant le visage décomfit de mon frère. J'essayant d'en faire autant.

Mais non mes loulous choisissez ce qu'il vous plaît, mais pas cette horreur surtout. S'exclama-t-elle, accompagnée de grands gestes vivaces.

Tu es trop aimable Esmé... Mais je doute qu'Emmett trouve quelque chose à son goût ici. Déclarais-je ironique.

Emmett comprenait à peine la blague, ses yeux fixés encore sur le tissus de mauvais goût.

- Tiens ! Toi tu serais super chou la-dedans !

Je lui tendis le costume.


-Mon dieu... Alice mourrait une deuxième fois si elle voyait cette... CHOSE.

Je riais, et oui Alice mourrait encore une fois. Esmée s'approcha de nous :

-Vous avez trouvés votre bonheur, je vois qu'il y en a un deuxième là-bas comme ça vous n'aurez pas à vous chamailler.

Je la regarda en souriant.

-Non, non on ne se chamaille pas Esmé.

Elle sourit et dit :

-Je vous les offre !

Mon coeur cessa de battre. J'ai cru mourir une nouvelle fois !

-Mais non mes loulous choisissez ce qu'il vous plaît, mais pas cette horreur surtout.

Un tel soulagement revena, mais j'étais encore sous le choc. Edward me regarda ainsi qu'Esmé et dit :

-Tu es trop aimable Esmé... Mais je doute qu'Emmett trouve quelque chose à son goût ici.

Je regarda Esmée et lui dis :

-Oui c'est vrai, Edward a raison, je ne me vois pas dans ces trucs là.

J'aimais bien voir la tête que faisait mon frère. Les humeurs et réactions, chez lui, se lisaient instantanément, pas besoin d'utiliser mon don avec lui !

Oui c'est vrai, Edward a raison, je ne me vois pas dans ces trucs là

Je souri de côté à cette remarque.

On pourrais te trouver un autre magasin peut être ? Proposais-je sérieusement.

Après tout, Emmett nous suivait toujours partout et sans la moindre arrière pensée en ce qui concernait l'achat de vêtements. Nous luid evions bien ça, bien que me retrouver dans un magasin remplis de choses hideuses sportives ne me plaisait pas tant que ça.
J'observais ensuite ma mère pour voir sa réaction, même si j'étais près à parier qu'elle serait plus que d'accord avec ma proposition.

- Oui c'est vrai, Edward a raison, je ne me vois pas dans ces trucs là

Je me doutais bien que Edward allait vouloir me faire plaisir, il avais un grand coeur. Je détourna mon attention sur lui et lui dit d'un simple sourire.

- Je suis complètement d'accord... Peut-être te trouveront-on quelque chose a ton gout Edward!

Je s'avais que mon frère n'aimais pas ce genre de boutique, il faisait cela seulement pour me faire plaisir seulement moi j'allais prendre un malin plaisir a le taquiner pendant le temps que nous allions passer la-bas. J'avais même penser a prendre mon temps pour le faire facher.