" Trop d'questions "

Je me sentais bizarre d'être dans un autre pays que le mien, même si Volterra ne me manquait pas. Le voyage avait été court, je m'étais téléporté jusqu'ici, grace à mon don. Je ne me sentais pas bien. Je me demandais quand même si les Cullen habitaient toujours à Forks, je pense que oui tout de même car la présence de vampires était tout autour de moi.
J'avais cherché l'hopital de Forks, même si c'était une petite ville, je l'avais enfin trouvé. Je montais des escaliers à la recherche d'un indice quand je trouvais son bureau, le bureau de Carlisle. J'avais vu sa plaque sur la porte.
Je ne savais pas quoi faire, si je devais oser mais je décidais d'y aller, j'étais venu pour ça quand même.
Je tappais à la porte et attendais une réponse. Je me demande quel réaction il va avoir en me voyant là, en sursautant ? En m'acceptant ? En m''expulsant ? Je n'étais sure de rien en tous cas.

J’étais assis sur le fauteuil près de ma grande bibliothèque qui se trouvait dans mon bureau. J’adorais lire quelques poèmes en ces jours très calmes. Les patients se faisaient rares en ce moment. A part quelques petit accidents anodins. Je rêvassais en lisant un poème sur l'amour, et le visage d’Esmé m’apparu. Quel calme pour un hôpital je trouvais ça étrange, peut être que ce calme me réserve quelque chose. Je continua de lire lorsque je fus dérangé par de petits coups à la porte, trop faibles pour que se soit mes enfants, pourtant c’était bien l’odeur d’un vampire. Cette odeur m'est familière, mais je n'arrive pas à me la remettre en tête. Je resta là un petit moment en fixant la porte de mon bureau. Les coups furent plus rapprochés et plus forts :

- J'arrive, Dis-je d’une petite voix audible pour un vampire, alors qu'un simple humain ne l'aurait pas entendu.

Je posa mon livre sur mon bureau, me leva, et me dirigea vers cette porte toute en me mémorisant qui pouvait bien me rendre visite mis à part ma famille.
J'ouvris la porte, et vis un jeune garçon de taille moyenne. Ses cheveux étaient d'un châtain très très clair et mi-longs, son visage avait une forme de cœur, il était mince mais assez fort. Je m'approcha de lui :

-Bonjour jeune homme, entrez donc, et asseyez-vous, je vous en pris. Vous vous appelé Alexandre c'est bien ça ? Vous êtes le cousin d'Alec. Que me vaut cette visite ?

Je le regardais attentivement, il avait l’aire assez timide et gêné d'être ici avec moi. Je me rappellais bien de lui. Un très jeune garçon très gentil, avec un caractère assez dur. Qui a pour don, il me semble, la téléportation.
Je lui offris une chaise pour qu’il s'assois

J'étais étonné de le voir même si son nom était écrit sur la porte. Après tout, voilà des siècles que je ne l'avais pas vu. Je me sentais bizarre, le voir face à face, moi le tueur et lui végétarien, ayant un contrôle de lui même depuis des années. J'étais un novice.

Bonjour jeune homme, entrez donc, et asseyez-vous, je vous en pris. Vous vous appelé Alexandre c'est bien ça ? Vous êtes le cousin d'Alec. Que me vaut cette visite ?

J'entrais et je le saluais timidement.

Bonjour Carlisle, ca fait des siècles...

Je regardais autour de moi et dis :

Comment fais-tu pour être si proche... Les humains... ?

Je guettais sa réaction dans un coin de son bureau.

Sérieusement, comment as-tu pu aussi facilement contrôler ta soif ?

Je me demandais quand est-ce qu'il allait me poser des questions sur ma venue.

Le jeune garçon entra et me salua timidement. Il me regarda et dis d‘une petite voix :
- Bonjour Carlisle, ça fait des siècles...

Il regarda autour de lui, je pense qu’il avait remarqué les tableau accroché au mur, et qui représenté ma vie, mon passé. et le casier ou je ranger les fiche des patients était plein.

- Comment fais-tu pour être si proche... Les humains... ?
Sérieusement, comment as-tu pu aussi facilement contrôler ta soif ?

Je me demandais pourquoi il était la, et pourquoi temps de question. Peut être veut-il devenir un vampire comme nous, un végétariens.
Je l’observais silencieusement puis lui fis signe de s'assoir sur le petit fauteuil rouge en face de mon bureau. Je m’assis a mon tour et pris la parole :

- je dois dire que mon métier me demande énormément de calme et de patience. C’est un travail d’endurance que je pratique depuis de très longues années. boire du sang humain me répugne. Lui dis je d’une voix calme et douce.

- Les premiers mois furent compliqués car me préparer psychologiquement à combattre mes ardeurs était très fatiguant. Mais au bout d’un an, j’avais acquis assez de confiance en moi pour me détendre.
Ne pas boire du sang humain est une de mes convictions profondes, peut être la plus grande idée pour laquelle je me bats. Annonçai je et le regardant dans les yeux. Je guetté sa réaction toute en continuant mon récit :

- Je suis médecin car je voulais trouver un emploi où je pourrais vivre avec les humains et les aider.
J’ai toujours rejeté l’idée d’être un monstre ou un animal assoiffé de sang qui tue les humains. J’espère que cette phrase ne va pas l’énerver, mais c’est comme ça que je voyais les choses.

- Je pense qu’en étant médecin et en côtoyant tous les jours l’objet de mes désirs, je me prouve à moi-même que je ne suis pas un monstre mais bien encore un “être” doté de raison. Sur ces dernier mots, je me leva , m’approcha de lui et lui dis d’un aire anxieux :

- tu ne trouve pas que cette endroit et trop fréquenter pour toi. Je trouve ça dangereux de ta part de venir ici dans un hôpital ou le sang humain règne. Si tu veut on peut finir notre discutions chez moi à la villa ? Quand dis tu Alex ?
Avant que l’on parte tout les deux, je voudrait savoir pourquoi tu est venue ici ?

Je le regarda en attendant une réaction de lui.

Il me montra un fauteil, je le remerciais d'un signe de la tête et m'asseyais. Il commenca à me parler de ses convictions, son mode de vie si spécial à mes yeux.
Je l'écoutais attentivement, mot par mot. Que voulais-t-il dire en parlant de "monstre" après tout c'était dans notre nature de boire le sang humain, si eux décidaient de ne pas le faire, ca ne faisait pas forcément de nous des montres.

Je dois dire que mon métier me demande énormément de calme et de patience. C’est un travail d’endurance que je pratique depuis de très longues années. boire du sang humain me répugne.
Les premiers mois furent compliqués car me préparer psychologiquement à combattre mes ardeurs était très fatiguant. Mais au bout d’un an, j’avais acquis assez de confiance en moi pour me détendre.
Ne pas boire du sang humain est une de mes convictions profondes, peut être la plus grande idée pour laquelle je me bats.
Je suis médecin car je voulais trouver un emploi où je pourrais vivre avec les humains et les aider.
J’ai toujours rejeté l’idée d’être un monstre ou un animal assoiffé de sang qui tue les humains.
tu ne trouve pas que cette endroit et trop fréquenter pour toi. Je trouve ça dangereux de ta part de venir ici dans un hôpital ou le sang humain règne. Si tu veut on peut finir notre discutions chez moi à la villa ? Quand dis tu Alex ?
Avant que l’on parte tout les deux, je voudrait savoir pourquoi tu est venue ici ?

Tout ce qu'il me racontait m'impressionait. Il devait avoir un sacré contrôle pour ne pas tuer de patients. Je pensais que je n'allais pas tenir longtemps, l'odeur qui régnait ici était trop tentante à mes yeux, et je n'avais en aucun cas, encore, le contrôle de ma soif que lui avait. Je résistais quand même.
J'hochais la tête honteusement et répondais :

Ce serait une bonne idée d'aller finir cette conversation chez toi, oui. Avouais-je.

Je l'observais, honteux.